Mini-camp dans le Vallon des Eparres (38) – 14 au 16-07-2017

Participants :
SCV : PeFe, Audrey, Kévin, Estéban, Axel, Ptit Nico, Flo, Bérengère, Seb, Lionel, Julien, Jacques R, Nicole
ainsi que Charly, Chloé, son frère, Sébastien et Jérémy, originaires de St Pierre d’Entremont

CR collégial de Ptit Nico, Ptite Flo, Julien, Kévin et PeFe

Gros mini-camp dans les Eparres !
Depuis un moment nous souhaitions mettre le nez sérieusement dans les trous historiques du club. Au printemps, PeFe a émis l’idée de faire la traversée Gouffre à Maule – Trou Pi. Pourquoi pas, mais il y a très peu d’info sur ces trous malgré le fait qu’ils aient été explorés par le SCV… Tout un travail de reconnaissance voir d’équipement semble nécessaire.
A ce programme se greffent quelques bonus : dégager la sortie du Trou Pi, encombrée par de gros blocs et de la terre, ou encore continuer la dézob au SCV27.

On bloque donc le WE du 14 juillet, avec l’idée de rester 3 jours et 2 nuits sur place, pour en profiter un maximum !
Préalablement, une première reconnaissance est organisée le week-end précédent, permettant d’équiper les verticales du Trou Pi et mener une reconnaissance dans le secteur de la jonction.



Vendredi 14 Juillet

Logistique et installation du mini-camp

Préparation du matériel le mercredi : on arrive à blinder 8 kits ! Et encore, c’est sans la nourriture et les affaires perso…
On part vendredi matin, férié, en direction du Château à Saint Pierre d’Entremont où on retrouve Charly. Le gros de la troupe (n’y voyez aucun sous entendu) part bien chargé avec chacun ses affaires perso sur le dos. Pendant ce temps, Bérengère, Lionel, Charly et Ptit Nico chargent 3 ânes (ici non plus il n’y a aucun jeu de mots) avec la bouffe et le matériel collectif, soit un peu plus de 100kg. Les ânes montent à leur rythme dirigés par leurs 3 guides (à vous de définir qui de l’âne est le guide et qui du guide est l’âne !!). Charly reste à proximité pour vérifier la stabilité des chargements et faire avancer les plus réticents.

Quand les ânes arrivent au col de Bovinant, le premier groupe a déjà déjeuné et le campement est en partie installé. Les ânes en sueur sont déchargés et le campement vite finalisé. Une fois tout le monde ravitaillé, Charly redescend les ânes au Château et nous nous séparons en 3 groupes pour commencer à remplir les objectifs du week-end.

Arrivée de l’équipe des Anes 😀 !!


Gouffre à Maule, découverte, rééquipement
Participants : Lionel, PeFe, Ptit Nico, Flo

On suit les souvenirs de Lionel et on parvient sans trop de difficultés à l’entrée A du gouffre à Maule par laquelle nous entrerons.

C’est Ptit Nico qui prend la tête du convoi dans le but de continuer sa formation à l’équipement. On commence par une galerie à taille humaine qui plonge à  45° dans les entrailles de la terre. Après quelques petites glissades, on arrive à la salle des boisages. C’est impressionnant ! Sur la gauche se trouvent les restes vermoulus des échelles, plateformes et étais en bois utilisés par les moines chartreux pour l’extraction du minerai de fer. Un peu partout, dans la salle, on trouve des départs de galeries creusées par les mineurs d’antan. On profite de l’atmosphère bien particulière avant de continuer notre exploration.

En bas de la salle, un ressaut de 3m. Ptit Nico peut commencer à bosser… On utilise les spits en place pour la main courante en doublant le premier point avec un amarrage naturel sur une très petite concrétion. Pour la tête de puits du ressaut, les spits sont pourris. Pas le choix, aucun amarrage naturel en vue, on va devoir planter des spits. Pef explique rapidement comment planter des choux (euh non, des spits) à la mode tamponnoir. Ptit Nico entame alors laborieusement le plantage de son premier spit. C’est long et fatiguant mais il en vient à bout. Après un lâche désistement de Flo, c’est Pef qui plantera le suivant pendant que Ptit Nico se repose un peu le bras.

En bas du ressaut, on arrive sur une plateforme de 3-4m débouchant sur un puits de 12m. Ici, les spits sont un peu moins pourris, bien qu’un peu bas. Mais, on n’a pas envie de replanter de spits alors on utilise ceux en place. La tête de puits n’est pas des plus confortables, vraiment basse par rapport à la plateforme. C’est pas grave, ça suffira pour la traversée. Ptit Nico fait son premier raboutage de corde au niveau de la tête de puits. A première vue, ça inspire pas trop confiance, mais si ça tient… On descend, sauf Lionel qui reste pour améliorer la tête de puits.

Ici, encore, les moines ont laissé leur traces avec les restes d’une échelle qui permettait de descendre le puits. Le bas du puits est constitué d’un énorme éboulis (qui a dû contribuer à la destruction des installations des moines) qui descend avec une pente de 45° dans un méandre. Le début du méandre est encombré de gros blocs qui se désescaladent et se contournent. Le méandre est étroit et très haut. On s’arrêtera en haut du puits de jonction avec le trou Pi qu’il faudra équiper avant de pouvoir faire la traversée. Mais surtout, il faudra revenir avec un perfo pour planter des spits, le seul en place n’est pas sécuritaire.

On rejoint Lionel assez rapidement. Puis on remonte en laissant les cordes en place. A la sortie du méandre, Flo tente une petite acrobatie et manque de se mordre la langue au prix d’un petit trou dans le menton. Plus de peur que de mal. C’est Pef, qui a vu l’action au premier plan, qui a eu le plus peur. La suite de la remontée se fera sans encombre. Une fois rentrés au camp de base, l’infirmière-bûcheron Axel s’occupe de panser la plaie.

TPST : 3h30


Sortie du Trou Pi, dézob et sécurisation
Participants : Audrey, Kévin, Estéban (Alias Petit Poney), Seb, JR, PeFe

Après l’épreuve de la montée du matériel au camp de base, première journée de travaux en extérieur, pour dégager les premiers gros blocs obstruant le passage, et ceux menaçant de s’effondrer.
Pendant que Kévin repère le premier bloc à extraire et installe une dyneema pour assurer la traction, Audrey, Poney, Petit Poney et Pefe installent les cordes permettant la réalisation d’un palan, on pourra donc tirer correctement à la verticale, avant de basculer les blocs dans la pente.

Le premier bloc est récalcitrant, le premier point de levage n’étant pas optimum, on devra en percer un autre pour extraire le beau bébé. Il faudra quand même un beau mouflage pour le soulever. Les blocs suivants sortent plus facilement. Un petit coup de pousse MacDo sera nécessaire pour écarter le dernier gros bloc tombé l’an dernier.

En fin de journée, on a réussi à réparer le mal fait auparavant, mais ça ne passe toujours pas, il y a encore un peu de travail pour retirer les petits blocs et tout l’humus qui est tombé dans l’entrée depuis les dernières traversées, il y a bien longtemps…

TPSTB : 3h30 (Temps passé à soulever de la terre et des blocs)

Perçage d’un bloc avant extraction


Entrée du Trou Pi, équipement du secteur de la jontion
Participants : Julien, Bérengère, Axel

Une troisième équipe s’organise et se dirige vers l’entrée du Trou Pi. Le but est de descendre et se diriger vers la jonction avec le Gouffre à Maule. Le WE précédent, Julien s’était arrêté sur un balcon à 3m au dessus d’une salle.

Julien, Axel et Bérengère se retrouvent donc dans le secteur, et se glissent dans plusieurs boyaux. L’un deux shunte le balcon et arrive dans le salle, mais ce conduit est vraiment tortueux… On repart donc vers le balcon, plus évident et plus pratique. On équipe la main-courante et la tête de puits avec une corde de quelques mètres.

La suite, après un passage bas à fort courant d’air soufflant, n’est pas évidente : la topo 3D indique plusieurs possibilités. Une escalade suivie d’un méandre aérien, ou un soupirail. Axel va voir l’escalade, c’est péteux ! On file donc vers le soupirail, qui donne sur une lucarne étroite ou, à gauche, sur un méandre. Julien va vers le méandre et se retrouve sur un nouveau balcon surplombant un P10. En face, Axel éclaire le puits depuis la lucarne. En bas, c’est le fond du Gouffre à Maule !

Nous n’avons pas vu de trace d’équipement, il semble que la jonction n’est jamais été réalisée physiquement. La mémoire de Lionel va dans ce sens également. Du coup, il nous faut trouver une ligne de progression, on s’oriente vers la lucarne d’Axel. En effet, ce trajet sera plus simple, mais nécessite un aménagement bruyant !

Un petit thé pour réchauffer Bérengère, et l’équipe remonte vers la surface et le camp de base.

TPST : 3h30

Le soir
En soirée, retour de Charly, accompagné de Chloé, son frère, Sébastien et Jérémy. Tout le monde s’installe autour du feu, pour un très bon cassoulet !
Dodo sur une bâche pour un, dans les hamacs pour deux et sous tente pour les autres.

Séb et JR sont redescendus pour dormir à la Grange. Ils préfèrent marcher légers…



Samedi 15 Juillet

Entrée du Trou Pi, découverte et progression
Participants : Lionel, Esteban, Charly, Sébastien et Jérémy

Sortie de découverte pour cette équipe en partie locale. Pas de difficulté majeure, c’est équipé. L’équipe avance donc dans la partie verticale puis horizontale, dans le grand méandre qui débouche (enfin, débouchera) au dessus de l’Oratoire. Devant un ressaut de quelques mètres, et sans équipement, nous faisons demi-tour.

TPST : 4h


Entrée du Trou Pi, équipement de la jonction
Participants : Julien, Ptit Nico

Petite équipe ce matin pour le Trou Pi. Julien et Ptit Nico filent au fond, cette fois avec le kit-boom. Il faut pas traîner, l’équipe de Kévin en a également besoin !

On teste le matériel sur un bloc qui gêne dans un boyau : tout va bien et ça passe mieux 🙂 Ensuite, direction la lucarne par où nous souhaitons passer. Il s’agit en fait d’un pont rocheux bien stratifié séparant deux passages de 30 et 15 cm. On tape comme on peut avec le marteau, mais ça bouge pas suffisamment. Une petite paille plus tard, le pont rocheux tient toujours, mais se rapproche plus de la Tour de Pise que de l’Arc de Triomphe ! On s’excite encore un peu et enfin, il rend les armes.

Après un peu de déblayage, on installe une main-courante puis Julien se lance dans l’équipement du puits. Pas facile, car la roche est bien pourrie. Il faut se décaler d’1,5m pour trouver du bon calcaire et poser la tête de puits. On se retrouve en bas, le noeud de bout de corde pendouille à 50 cm du fond, c’est parfait.

On remonte rapidement et on fini le dernier puits avec l’équipe de Lionel. En surface, Julien ne traîne pas et file vers la sortie du Trou Pi pour refiler le kit à Kévin.

TPST : 3h


Sortie du Trou Pi, dézob, sécurisation et reconnaissance
Participants : Kévin, Audrey, Jacques, Seb puis Axel, Flo, Bérengère, PeFe

Deuxième jour de travail, les blocs à sortir sont nettement plus petits, mais plus compliqués à aller chercher. On en profitera aussi pour faire tomber d’autres blocs qui menacent, pour s’assurer que rien ne retombe par la suite.

On extrait un bon paquet de seaux d’un excellent terreau bien noir et bien riche (qui sèche cependant un peu vite d’après Julien), de caillasse et de petits blocs. Une lame de roche nous pose soucis, où est le passage exactement ? A gauche à droite, derrière, dessous ? On essaye un peu partout, et ça ne sera pas facile d’aller fouiner dans les zones les plus restreintes. Finalement, ce sera JR qui débouche au bon endroit et permet de rouvrir le passage.

Après quelques seaux de plus pour dégager le passage, PeFe puis Audrey et Seb s’engagent dans le conduit nouvellement réouvert, non sans pousser devant eux un bon paquet de caillasse pour purger. Plusieurs passages de diverses équipes seront nécessaires (Kévin et Axel, Bérengère et Flo) pour réduire à un niveau acceptable la présence de cailloux menaçant de tomber sur les équipiers. Le conduit est passable en opo jusqu’au fond, mais certains passages un peu larges et franchement verticaux seront à équiper pour assurer la sécurité lors d’une traversée. Au bout, on débouche sur un puits avec une corde restée en fixe vraisemblablement depuis plusieurs années qui sera à changer.

Au final, on aura expédié au bas du talus, plus de 2 m3 de blocs, et presque autant d’humus. L’entrée du trou est maintenant bien balisée par une coulée mêlée de bloc et de terre bien noire.

TPSTB – TPST : 5h


SCV 27, dézob
Participants : Axel, Flo, Bérengère, PeFe, puis Julien, Kévin, Ptit Nico

Pendant que 2 équipes partent vers l’entrée et la sortie du Trou Pi, Axel, Flo, Bérengère et PeFe vont au SCV 27 pour déblayer les dégats du précédent passage. Ils y restent environ 1h30 puis filent vers la sortie du Trou Pi.

A l’inverse, Julien et Kévin, en revenant du chantier du Trou Pi, vont au fond du SCV 27, avec Ptit Nico en surface. Profitant du travail réalisé par les copains le matin, un petit apéritif McDo est organisé sur le front de taille. Le dégazage se réalise par un léger courant d’air sortant. Après 1h30 sur place, l’équipe remonte au camp de base à Bovinant.

TPST : 3h


Rando, cueillette et prospection
Participants : Chloé, son frère, Julien et Charly
Dans la journée, Chloé et son frère partent en rando vers le Grand Som.

En fin de journée, après le retour de tout le monde au camp, une mini-rando s’organise au dessus du Métro pour cueillir de la vulnéraire pour Julien, Charly et Chloé.

En marchant, Charly fait un détour derrière un arbre pour nous montrer un trou. Il ressort avec un énorme sourire car il y a retrouver des bouteilles de gnôle mises au frais et oubliées il y a plusieurs années !

Retour au bivouac après 1h de crapahut avec une récolte honorable en fleurs et en boisson fraîche.

Petit spot de vulnéraire


Bonus Trou du Crâne
Participants : Axel, Flo, Bérengère

Sur notre route en direction du SCV 27, nous partons à la recherche du fameux trou où un crâne avait résisté à une tentative de récupération l’année dernière. Seule une taille naine peut y arriver : Flo semble toute désignée pour s’y coller !

Axel s’aide de ses souvenirs pour nous guider jusqu’au lapiaz en question. Une fois dans la zone, il tente de localiser le trou sans succès au bout d’une 15aine de min. Nous abandonnons pour reprendre notre chemin.

A peine 5m plus bas, Flo voit une faille et dit à Axel en rigolant et sans grand espoir : “Il est pas là le trou ?
Axel répond que c’est bien lui ! Sacré coup de bol !

Flo se prépare à descendre dans la faille en enlevant tous les vêtements/matériels superflus. Encouragée par Bérengère, Flo touche le fond sans grande difficulté et peut même s’accroupir pour récupérer aisément le crâne et 2 ossements.

Victoire, le trésor tant convoité est enfin en notre possession ! Et c’est officiel : Flo a la taille d’un enfant de 8 ans ! (dixit l’ami PeFe)
Au retour au club à la fin du week-end, on l’identifiera comme étant les ossements d’un chamois. Belle trouvaille qui vient compléter les trophées du club !

Le soir
Axel le bucheron a bien bossé dans la matinée : nous avons un énorme stock de bois à disposition pour le feu de camp !
Lionel nous avait prévu une choucroûte, on a terminé par les shamallows qu’Audrey était allé récupérer dans la vallée !

JR et Séb redescendent à nouveau à la Grange, ainsi que Jérémy et Sébastien.



Dimanche 16 Juillet

Rando prospection dans le lapiaz
Participants : Charlie, Lionel, Sébastien, PeF (prospection), Chloé et Audrey pour la cueillette

Charlie (Autochtonus Eparrus) pense avoir repérer des trous non explorés dans un Lapiaz à proximité de notre camps. Très intéressés par cette idée, Nous (Exploratorus Urbanus du SCV) décidons de monter une équipe pour vérifier l’étendu de ces cavités. Arrivé au Lapiaz, nous nous séparons en deux équipes, les Cueillus qui feront le plein de plantes aromatiques et les Exploratorus qui descendront dans la noirceur des cavités.

Le Lapiaz est raide et en plein cagnard, il est difficile de progresser en combi, sauf pour Charlie et Lionel qui galopent tranquillement.

Arrivé sur le premier trou, un gouffre allongé dans le sens du lapiaz d’environ 10 m de longeur par 1 à 5 m de largeur pour environ 10 m de profondeur, nous faisons le tour pour trouver des amarrages naturels et éviter planter des spits. Nous finissons par choisir un arbre et une fissure de Lapiaz entourée de sangle et dynemaa pour permettre le frottement.

Le fond est constitué d’un remplissage de végétaux et de neige. Ça n’a pas l’air de continuer sans de gros moyens de désobstruction qui seront vite reremplis en hiver. Déçus, sans avoir allumé de frontale, nous remontons pour voir le deuxième trou un peu plus haut.

Il semblerait que ce soit la continuité du premier trou visité. C’est un gouffre allongé plus large, plus long et un peu plus profond mais dans le même axe que le premier gouffre. Nous décidons, SeB et PeF, de descendre au milieu de l’ouverture où se situe un arbre permettant de descendre quasi plein vide. Seb part devant. Zut, ça frotte 3m plus bas. PeF suit et trouve une toute petite lunule permettant de placer une dev.

En bas, c’est comme le premier trou, le fond est constitué d’un remplissage de végétaux et de neige. Ça n’a pas l’air de continuer. En remontant on trouve un vieux gant de spéléo et un petit squelette, mais pas de crâne nous permettant d’identifier l’animal. Nous rebroussons donc chemin pour retrouver l’ensemble du groupe.

Au local du club, nous identifions nos gouffres comme étant le SCV 39 a et 39 b déjà explorés par le SCV. Les topos dessinés semblent conformes.
TPST : 0h
Temps passé en explo : 2h
Temps passé en cueillette : 1h

Palabres autour du SCV39.
Remarquez sur la gauche, on retrouve le marquage d’époque…


Traversée Gouffre à Maule – Entrée du Trou Pi
Participants : PeFe, Audrey, Kévin, Estéban, Axel, Ptit Nico, Flo, Bérengère, Seb, Julien, Charly

Une première équipe (Kévin et Ptit Nico) part devant pour équiper le puits de jonction. A deux, on avance bien et on arrive rapidement au puits en question. C’est Kévin qui se charge de l’équipement. Après de longues hésitations : les spits en place sont exactement au bon endroit, mais pas assez enfoncés, le méandre est trop étroit, la roche pas assez solide… on se décide sur l’emplacement des spits. Kévin perce, frappe, et les spits sont placés très rapidement contrairement à vendredi avec le tamponnoir. Quelle invention fantastique le perfo! Par contre, c’est lourd! On descend et on attend les autres dans la salle de jonction du gouffre à Maule et du trou Pi.

Kévin se fait un point chaud sous son poncho pendant que Ptit Nico explore l’énorme remplissage sur le côté de la salle. Après 1h30 d’attente, le second groupe, qui s’était attelé au rangement du campement, nous rejoint enfin avec les sandwichs. On mange rapidement et on se resépare en deux groupes : Flo, PeFe, Seb, Julien, Audrey, Kévin et Bérengère continuent la traversée pendant que Axel, Estéban, Charly, Ptit Nico remontent par le Gouffre à Maule.

Chaque équipe déséquipe ses verticales et se retrouve au campement. C’est bon, la traversée a été réalisée !

TPST : 4h

 


Le mini-camp touche à sa fin.
Tout le monde remballe les affaires et redescend au parking chargé comme des ânes (qui n’étaient pas de la partie cette fois-ci 🙂 )

CR collégial de Ptit Nico, Ptite Flo, Julien, Kévin et PeFe

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