Participants :
Séb, César et Julien
Nouvelle sortie à Angrières, avec une nouvelle équipe. C’est cool, on arrive à faire tourner les équipiers sur cette dézob : l’émulation se créé, chacun essaie de revenir rapidement pour voir les avancées de l’équipe précédente. Sauf PeF qui ne vient que 2 fois par an, « c’est le temps qu’il me faut pour oublier que c’est un trou bien pourri » !!
RdV à 9h30 à Angrières, Julien et Séb y retrouvent César. Son corps est bien présent, mais son esprit est resté embrumé par une folle soirée la veille. Même pas peur !
10h15, on entame la descente. Nous arrivons 50 minutes plus tard au fond, où nous pouvons enlever la quincaillerie à l’entrée du tunnel. Nous constatons les travaux réalisés ces dernières semaines par Fab et Axel : performants !
Mais on ne traîne pas. Le courant d’air est aspirant, c’est super, on ne sentira pas les gaz ! Rapidement, on équipe les perçages que nous avait préparés l’équipe précédente, on recule et on se ferme les oreilles. Les roches se fissurent bien, il y a plus qu’à sortir masse et burin pour finir le boulot.
Et on reprend le perfo, on sort le BigMac, on envoie la sauce, et on fait le ménage. La routine quoi ! Tantôt 4, tantôt 1, les cocktails s’enchaînent jusqu’à plus soif.
Le tunnel avance bien, 3 bons mètres lors de cette séance. On se trouve au sommet du méandre, juste sous le chenal de voûte. Les cailloux tombent et n’encombrent pas. Mais il faudra penser à descendre pour retrouver le filet d’eau.
César veut faire du rab : il s’engage pieds devant et descend un palier un peu étroit. 1 minute pour descendre, 15 pour remonter : pas facile de faire l’anguille à la verticale…
On remonte vers 16h30, après un dernier coup de masse sur un passage récalcitrant. On ressort vers 18h.
Nous profitons d’un petit réhydratant chez Roland, l’occasion de lui passer la nouvelle topo en A3 à afficher sur le bar. Puis retour tranquille vers nos pénates lyonnaises.
TPST : 7h
La veille, un gros orage a déposé 40-50 mm sur tout le Bugey. Nous en profitons pour passer au niveau du pont sur la résurgence de la Doua, qui coulait encore bien 24h plus tard.
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